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Les orgues de Flandre
Arch. Martin Schulz van Treeck 1967/1973
67-107 avenue de Flandre / 14-24 rue Archereau.
La verticalité postmoderne à l’honneur avec cette réalisation insolite. Gradins sortants et entrants, géométrie et symétrie sont les caractéristiques principales de cet ensemble. Seule la porte de l’ancienne cité des Flamants est conservée côté avenue de Flandre.
Sur une surface de 6 hectares se dressent 4 tours de 82, 96, 104 et 123 mètres de hauteurs: Sonate, Fugue, Cantate et Prélude et 2 bâtiments linéaires plus petits.
67-107 avenue de Flandre / 14-24 rue Archereau.
La verticalité postmoderne à l’honneur avec cette réalisation insolite. Gradins sortants et entrants, géométrie et symétrie sont les caractéristiques principales de cet ensemble. Seule la porte de l’ancienne cité des Flamants est conservée côté avenue de Flandre.
Sur une surface de 6 hectares se dressent 4 tours de 82, 96, 104 et 123 mètres de hauteurs: Sonate, Fugue, Cantate et Prélude et 2 bâtiments linéaires plus petits.


Garde-meuble Odoul
Arch. Eugène Beaudoin & Marcel Lods 1931-1933
8 passage de l’Atlas.
Cet immeuble faisait office de garde-meuble. D’une conception très moderne, il comprend 9 étages dont les 6 derniers sont en gradins. Un rez-de-chaussée porté par une ossature bétons composée de poteaux. Les ouvertures aux étages sont constituées d’étroits bandeaux de pavés de verre. Mais malgré son inscription MH en 2003, les volumes intérieurs ont été transformés en loft et la façade en gradins a fortement été dénaturée par la création de larges baies vitrées.
8 passage de l’Atlas.
Cet immeuble faisait office de garde-meuble. D’une conception très moderne, il comprend 9 étages dont les 6 derniers sont en gradins. Un rez-de-chaussée porté par une ossature bétons composée de poteaux. Les ouvertures aux étages sont constituées d’étroits bandeaux de pavés de verre. Mais malgré son inscription MH en 2003, les volumes intérieurs ont été transformés en loft et la façade en gradins a fortement été dénaturée par la création de larges baies vitrées.


Immeuble d’habitation et cinéma Sécrétan-Palace
Arch. Paul Dubreuil 1930-1932
55 rue de Meaux.
Architecte du Syndicat français des directeurs de cinématographes, Paul Dubreuil signe ici un cinéma rentabilisé par 4 étages d’appartements.
Une ossature béton armé, système Hennebique, pour une réalisation monumentale et massive, en plein mouvement modern. Avec des lignes épurées sur une composition symétrique avec une ornementation discrète dans l’esprit Art Déco.
55 rue de Meaux.
Architecte du Syndicat français des directeurs de cinématographes, Paul Dubreuil signe ici un cinéma rentabilisé par 4 étages d’appartements.
Une ossature béton armé, système Hennebique, pour une réalisation monumentale et massive, en plein mouvement modern. Avec des lignes épurées sur une composition symétrique avec une ornementation discrète dans l’esprit Art Déco.


Immeuble de rapport
Arch. Robert Parisot - 1932
17 rue de l’atlas.
Une réalisation impressionnante pour l’époque de par sa densité. En effet son coefficient d’occupation au sol frôle le chiffre 5. C’est à dire que la surface des planchers est cinq fois plus grande que celle du terrain!
Plus de 130 logements, en grande majorité des studios et des deux pièces garnissent cette construction en croix.
Les jeux de retrait en étage permettent une élévation plus grande. Bien que modeste, ce bâtiment est ingénieusement bâti, des façades en ciment-pierre, ornée des décrochements verticaux qui prennent la lumière.
Un rez-de-chaussée conçu différemment avec un élégant calepinage horizontal tout en relief.
17 rue de l’atlas.
Une réalisation impressionnante pour l’époque de par sa densité. En effet son coefficient d’occupation au sol frôle le chiffre 5. C’est à dire que la surface des planchers est cinq fois plus grande que celle du terrain!
Plus de 130 logements, en grande majorité des studios et des deux pièces garnissent cette construction en croix.
Les jeux de retrait en étage permettent une élévation plus grande. Bien que modeste, ce bâtiment est ingénieusement bâti, des façades en ciment-pierre, ornée des décrochements verticaux qui prennent la lumière.
Un rez-de-chaussée conçu différemment avec un élégant calepinage horizontal tout en relief.

Cité de la musique
Arch. Christian de Portzampac, 1995
221 avenue Jean Jaurès.
L’ensemble s’articule autour d’une « rue intérieure » qui connecte les différents espaces, facilitant la circulation et les échanges. Côté parc, la façade prend la forme d’une muraille blanche ponctuée d’ouvertures lumineuses rappelant l’Art roman, tandis que la toiture inclinée évoque l’élévation du son.
221 avenue Jean Jaurès.
L’ensemble s’articule autour d’une « rue intérieure » qui connecte les différents espaces, facilitant la circulation et les échanges. Côté parc, la façade prend la forme d’une muraille blanche ponctuée d’ouvertures lumineuses rappelant l’Art roman, tandis que la toiture inclinée évoque l’élévation du son.

Tours Curial
Arch. André Coquet, D. Auger, Jean-Pierre Cazals, Pierre Hayoit de Bois-Lucy et Bernard-Jean Massip, 1966.
Voici la plus grande cité de Paris intra-muros. Un ensemble de 16 tours en R+18 et un bâtiment en R+8.
Un dessin de grecques imbriquées qui donne une identité très forte à l’ensemble avec ses effets plastiques sculpturaux et graphiques.
La rénovation de la cité Curial opérée par le groupe Arcane architectes n’a pas « abimée » le graphisme des tours conçues en 1966.
Le nouveau bardage respecte la singularité des bâtiments avec le maintien des différences entre les pleins et les nus ainsi que les contrastes des couleurs noires et blanches des façades originelles.
Voici la plus grande cité de Paris intra-muros. Un ensemble de 16 tours en R+18 et un bâtiment en R+8.
Un dessin de grecques imbriquées qui donne une identité très forte à l’ensemble avec ses effets plastiques sculpturaux et graphiques.
La rénovation de la cité Curial opérée par le groupe Arcane architectes n’a pas « abimée » le graphisme des tours conçues en 1966.
Le nouveau bardage respecte la singularité des bâtiments avec le maintien des différences entre les pleins et les nus ainsi que les contrastes des couleurs noires et blanches des façades originelles.

Les Eiders
Arch. Mario Heymann, 1981
145 avenue de Flandre.
Mario Heymann intervient seul sans ses compagnons de route habituels, Roger Anger et Pierre Puccinelli. Une ode aux années 70 pour cette réalisation qui se décline et se développe sur un large îlot autour d’une rue intérieure.
Les façades sont constituées d’éléments de béton préfabriqués aux angle arrondis, empilés, fractionnés ou décalés. Ils forment un ensemble à la fois désordonné et équilibré (et oui c’est possible!), d’aucun trouveront cette réalisation datée, je ne suis pas des leurs.
Ces façades singulières ne vous font elles pas penser aux immeubles qu’enfant nous élaborions avec notre boîte de cubes géométriques en bois?
145 avenue de Flandre.
Mario Heymann intervient seul sans ses compagnons de route habituels, Roger Anger et Pierre Puccinelli. Une ode aux années 70 pour cette réalisation qui se décline et se développe sur un large îlot autour d’une rue intérieure.
Les façades sont constituées d’éléments de béton préfabriqués aux angle arrondis, empilés, fractionnés ou décalés. Ils forment un ensemble à la fois désordonné et équilibré (et oui c’est possible!), d’aucun trouveront cette réalisation datée, je ne suis pas des leurs.
Ces façades singulières ne vous font elles pas penser aux immeubles qu’enfant nous élaborions avec notre boîte de cubes géométriques en bois?

Philarmonie de Paris
Arch. Jean Nouvel, 2015
221 avenue de Flandre.
Après 8 années de travaux, voici le résultat assez incroyable d’un projet pharaonique
Une petite montagne qui scintille quand le soleil est présent ( ce n’était pas le cas ce jour là !)
Ce bâtiment dégage à la fois calme et puissance. Il est composé de volumes à pans obliques recouverts de plaques de fonte d’aluminium.
Dont plus de 340000 une fois assemblées forment une gigantesque mosaïque, une envolée d’oiseaux.
221 avenue de Flandre.
Après 8 années de travaux, voici le résultat assez incroyable d’un projet pharaonique
Une petite montagne qui scintille quand le soleil est présent ( ce n’était pas le cas ce jour là !)
Ce bâtiment dégage à la fois calme et puissance. Il est composé de volumes à pans obliques recouverts de plaques de fonte d’aluminium.
Dont plus de 340000 une fois assemblées forment une gigantesque mosaïque, une envolée d’oiseaux.
Paris 19ème
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